Franck Cammas bat le record du tour du monde à la voile

Félicitations, Dan et Karine, pour tout. Le bon coup de pub, la page web, l'endroit de rêve, le choix du Weta, la régate Zoo Regatta.. J'ai passé un bon (aux deux sens du mot) moment à regarder les (trop nombreuses) photos, mais cela vaut le coup. Réussir avec seulement quatre bateaux à faire une régate de deux jours, 16 équipages, un hélico, une quirielle de zodiacs de service, des danseuses à la remise des prix... chapeau! Si jamais quelqu'un organise une jour un premier championnat de France de Weta, il faudra sérieusement penser à la Guadeloupe!

Votre choix du Weta est un indicateur à mes yeux du grand potentiel de croissance du bateau dans une niche (facile, moderne, rapide, léger...) jusque là peu ou mal exploitée.

Bonne chance.

Weta Trimaran Best 2009 Dinghy (Sailing World html)

This is our small boat issue and it comes at a time when I am in the market for a new small sailboat. I live on a rocky beach and I need a boat I can launch from a dolly and a boat that has some durability to it. I want to drag my boat over the beach and not be obligated to wait for others to come and help me carry it. So, while I review these small boats this month, keep in mind that I am shopping. I also want to add that I am a small boat, dinghy lover. I am absolutely convinced that the best way to learn the nuances of sailing is to set off in a small, unballasted boat. The rewards of small boat sailing are great and there is no finer way of getting in touch with wind and waves.

New Zealanders Roger and Chris Kitchen saw a gap in the small boat market. The market needed a stable trainer, easy to rig, easy to stow but at the same time combined high performance that would broaden the appeal beyond beginner sailors. That is a tall order. The needs of a beginner usually conflict with the needs of the experienced sailor looking for high performance. The answer was to be found in a small trimaran.

Initially the Weta Marine founders worked with a multihull designer to come up with concepts for a prototype, and in 2003 the first boat was launched. Today, with much development, more than 100 Wetas have been launched. What I really liked about the promotional material I received for this review is that the Weta group tried to give credit to everyone involved over the life of this project. There is a Weta Marine design team, but it’s big. I won’t go through the list of names here, but from the Chinese builder and the Chinese sailmaker down to the group of contributors in New Zealand, the blurb tries to name everyone. I like that.

The 14-foot, 5-inch Weta is a fiberglass trimaran with beam of 11 feet, 6 inches. With the carbon fiber arms retracted the beam is 5 feet, 7 inches. The overall weight of the craft is 211 pounds, so it’s heavier than a Laser but it’s a lot more boat. Two adults can sail the Weta comfortably. Certainly two kids could have a ball in a Weta, and the Web site shows photos of four kids sailing the trimaran. There is a daggerboard in the main hull and a kick-up carbon fiber rudder. The rig is interesting. The bowsprit is carbon and fixed in place to carry a large screacher. The screacher is on a Harken roller furler. The mainsail is boomless with five full battens. The mast is also carbon with shrouds taken out to the amas.

There is a lot of horsepower in this rig and yes, you can capsize the Weta. But you would have to push the boat hard in a lot of breeze. If you go to the Weta Web site there is an excellent video showing how easily the Weta can be righted.

I think for most beginner or trainer boats the big question is stability. Any small boat can capsize but a trimaran will be difficult to capsize given the stability provided by the amas. They are like “training wheels” on a bike. At the same time they provide power when you sit out on the trampoline and this results in boat speed. So, to my eye, the Weta combines features that make it a fun ride for an experienced sailor with the safety required for beginners.

Voici un petit trimaran acidulé, né en Nouvelle-Zélande, mais importé en France. C’est un joujou exquis pour le plaisir de la glisse, et peut-être de la régate, pour ceux qui veulent aller vite sans se briser le dos au rappel d’un dériveur en solitaire.

Voilà donc un bel engin de plage pour l’été. Et si la classe se développe en France, ce sera un beau voilier de régate en double. Il sera aussi intéressant de le voir se confronter aux catas sur des raids et aux autres trimarans comme la nouvelle génération des Magnum, plus grands et plus puissants.

Un bateau Plaisir : pour vous éclater en solo, découvrir une baie ou faire le tour de l’île, emmener les enfants, vous initier à la régate, le Weta 4.4 est le bateau idéal.

Un bateau Facile : vite prêt, simple à gréer (mât carbone) et mettre à l’eau grâce à son chariot de plage spécial, le Weta 4.4 est facile aussi sur l’eau. Plus large qu’un cata, plus stable qu’un dériveur, le Weta 4.4 vous offre la sécurité inhérente à un vrai trimaran.

Triple vainqueur de la Transat anglaise, Loïck Peyron (50 ans) est le premier Français à avoir barré un voilier pendant un duel de la Coupe de l’America. Co-barreur d’Alinghi 5, le cadet des frères Peyron analyse la défaite du defender suisse lors de cette 33e Coupe de l’America... Interview exclusive Voiles et Voiliers

Je cherchais un petit voilier transportable, moderne, rapide, avec un spi asymétrique qui soit plus stable qu'un dériveur, utilisable à la fois en solitaire et en équipage de 2-3 personnes et qui ait une large plage d'utilisation depuis le fun sur la plage et l'initiation jusqu'à la compétition amateur mais de bon niveau. De plus, il faut bien sûr que l'on puisse facilement le mettre sur sa remorque, le transporter et le garder en sec sur sa remorque entre utilisations.

Le Longtze de 6.80 m et 600 kg m'avait tapé dans l'œil au championnat de France des voiliers habitables en octobre à Hyères par sa conception ultramoderne (spi asymétrique sur bout-dehors, gréement sans pataras ni bastaques permettant une grand voile bien élancée avec plein de rond en haut pour l'efficacité aérodynamique au prés, une longue quille fine relevable avec un bon bulbe, etc.) a un potentiel de vitesse extraordinaire mais n'est pas facile à gréer par une personne seule et serait difficile à manier en solitaire à cause de son bulbe de 300 kg sur une quille de 1.80 m que l'on relève pour le transport sur remorque et de son vrai spi asymétrique. Il demande un quai en eau profonde après la mise à l'eau pour descendre sa quille.

Mais lors d'une visite au salon nautique de Paris, j'ai trouvé un trimaran de 4.40 m et 120 kg qui semble répondre parfaitement à ma description et qui est d'un prix plus abordable. Il possède en guise de spi un gennaker (spi assez plat qui peut remonter au vent) monté sur enrouleur ce qui rend sa manœuvre très facile et par contre le rend un peu moins rapide au vent arrière pur par rapport à un spi plus creux. Il peut partir de la plage et passe dans un faible tirant d'eau, comme un dériveur.

Tri Tons